Reflet

Voici l'exemple type de la photo prise sur le vif et qui n'était donc pas du tout prévu. 

Je venais, accompagné de mon fiston de photographier une drôle de statut en fer que j'avais repéré la veille.

En repartant vers la voiture, nous longeons le marché dominical qui tient la place. 

Un stand de vielle fripes occupe les mains de quelques badauds. Un vieux miroir adossé contre le camion du marchand me jette le reflet d'une potentiel cliente. J'ai encore le Nikon autour du coup, j'ai shooté immédiatement. 

Deux secondes plus tard, la dame était déjà loin...
Après cette photo on l'aime ou pas. C'est du déjà vu et revue... Pour moi l'essentiel et l'intérêt de celle-ci réside dans sa spontanéité 

How do I do ?

En attendant ...

... Halloween !

The Smoker

10h10 environ, la finale de la coupe du monde de rugby à débutée. Le Quinze de france est opposé au mythique All Blacks. La terrasse du café est bondé. Le stress est clairement palpable. L'homme à la cigarette en témoigne, s'acharnant sans relâche sur son bout de papier rempli de tabac.

1h30 plus la victoire des Blacks aura plus que jamais un goût de cendres...

Face à face

The Last One

Voici donc la dernière photo prise avec mon bridge ( qui depuis un an à bien fait son boulot ) et que je publie ici. 

Behind The Drops

- Doudou, j'ai des banques en retard !
- Humm...
Après un soupir évocateur de mon entrain ( légendaire...) : " Ok, je vais y aller, mais pas tout de suite, il est 18h, là c'est la mort ! "
Une bonne heure plus tard me voilà au volant du Scénic à tourner à la recherche d'une place près de la banque. Au bout d'un moment et lassé de faire le tour de la place pour la troisième fois, je décide d'enfreindre la loi...
Je me gare sur un emplacement réservé au convoyeurs de fond. Je me dis qu'a cette heure là... les billets sont déjà au chaud.
Je suis juste en face du Rex hôtel dont les couleurs caractéristiques sont bien connus des Tarbais. Les vitres de la voiture témoignent avec délices des affres du temps, il a en effet plu une bonne partie de la journée. Les petites gouttes d'eau et la buée transfigurent le bâtiment.
Je sors mon appareil de sa sacoche ( je voulais le tester de nuit...) , je le mets en mode auto, longueur focale au max ( 105 mm ), je me contorsionne quelque peu et shoote.
Le résultat me plait bien, je regrette néanmoins que la vitre fût un peu cracra... A ma décharge, je n'avais pas prévu du tout le coup !

Comme une invitation...

à se poser pour faire une petite pause.

Hier matin, après avoir posé la puce à l'école, je suis allé, armé de mon nouveau joujou faire un petit tour dans le parc juste à coté de chez moi. Il est très beau je trouve. 

J'en ai profité pour shooter un maximum et apprivoiser un peu plus les nombreuses possibilités du D3100.

Bien que le parc ne soit pas immense, il est pour moi quand même assez difficile de le parcourir de fond en comble d'une seule traite. Les nombreux banc qui le jalonnent sont donc autant d'invitations à la pause ( qui s'impose...).

Petite photo en forme clin d'oeil.

Croisement

The First 0ne !

 Ce matin je guettais le facteur. Sans trop y croire, j'avais l'espoir un peu fou de recevoir mon reflex dans la matinée. Commandé jeudi soir, il ne devait pas arriver avant demain...

Quand la sonnette à retentie, j'ai regardé immédiatement par le fenêtre et vu que le facteur avait un bon petit colis sous le bras. Un énorme " YESSSSS " à fait tremblé les murs du salon. 

Le précieux dans mes mains, j'ai commencé par mettre la batterie en charge et regardé avec envie mon boitier et son objectif ( 18/105 mn ).
Ensuite comme un bon élève, je me suis attelé à la lecture du manuel de la bête. Je change complètement de monde en passant de mon bridge ( déjà quasiment vendu...) à ce reflex.
J'ai beaucoup de choses à apprendre, surtout au niveau technique. Mais étant encore selon moi novice dans la photo, j'ai de solides bases théoriques à assimiler pour pouvoir tendre vers l'excellence.

J'ai donc beaucoup de travail devant moi, pour mon plus grand plaisir.

Ci-dessus ( après quelques tests et ratages d'usage...), la première photo que je considère comme digne de figurer sur mon modeste blog avec Khéops comme modèle.

D'autres, beaucoup d'autres suivront...

Alone

Downtown

Cela fait une bonne heure que je suis posé à la terrasse d'un café place Verdun. Il fait plus de 30°, ce qui est remarquable pour un 1er Octobre et je fonds littéralement car je suis assis en plein soleil.

Une heure auparavant nous avons visités une maison à vendre repérée sur le net par ma chérie. Les photos prometteuse sur le site lui ont fracturées l'oeil et j'ai obtenue très rapidement une visite pour le fun...
L'agent immobilier  ( vraiment très sympa ) nous y a conduit. La visite m'a passablement mis sur le carreau et la vétusté du bien fini de m'achever.
Nous avons décidés quand même d'aller faire un petit tour dans le centre pour prendre un petit café et désaltérer les enfants. Le soleil et sa chaleur sont au zénith.

Garés rue Cours Gambetta deux minutes plus tard, nous sommes à 200 mètres de la place Verdun, well done !
En remontant vers la place nous passons devant une porte cochère, j'ai pris mon appareil, un seul shoot suffit !

Les terrasses des cafés de la place sont noir de mondes. Nous trouvons néanmoins une table. Mon petit monde m'abandonne assez rapidement pour allez flâner un peu dans les boutiques. J'ai décidé de rester lézarder au soleil. Les minutes passent et commencent à me paraître démesurées. L'agitation qui naît non loin, des vas et viens d'un petit groupe de jeunes femmes étrangement vêtus me sort de ma torpeur. Un spectacle de danse à l'air semble t-il d'être sur le point de débuter. 

Les miens sont maintenant de nouveau à mes cotés. La petite à rapidement repérée ce qui se tramait et nous convint d'assister aux quelques gesticulations bollywoodiennes à venir.

Quand le spectacle commence, nous abandonnons rapidement nos chaises pour aller voir de plus près les demoiselles. Je prends une vingtaines de photos ( j'en garderais deux au final...). La deuxième danse s'achève dans un fracas d'applaudissement ( au vus du nombres de badauds ), le moment pour nous de s'échapper tranquillement vers d'autres horizons à sonné. 

Nous laissons la place...

9h50

Petit café en terrasse pour moi ce matin. Le soleil prometteur réchauffe doucement l'air ambiant qui à cette là est encore frais. J'attends tranquillement en tirant sur ma cigarette que le magasin où je dois me rendre ouvre enfin ses portes. Alors, je regarde les gens qui passent...

Après quelques instant d'hésitation, je sors mon bridge. Il est 9h50. 

Coming Soon...

........ XD

Tree Of Life

Mouvements

Quand mon grand petit homme m'a pressé avec insistance pour l'amener faire du Waveboard ( ben ouais, sur l'herbe, cela fonctionne moyen...) sur le parking à quelques blocs de la maison, je me suis dit que c'était une bonne occasion de le shooter ( pas folle la bête...) et d'y tester différent réglages niveau vitesse d'obturation. Je l'ai donc fait recommencer plusieurs fois l'exercice, pour arrivé enfin à un résultat ( me ) satisfaisant avec au final les réglages suivant : 1/15 s à f / 6,4. Lui plutôt content de participer à mes expériences photographiques ne s'est pas fait prier.

Pour le second cliché, pris vraiment à l'arrache depuis ma voiture il y a quelques jours..., j'ai opté pour le temps d'exposition le plus long possible que mon appareil m'autorise à savoir 8,0 s à f / 6,4.

Thx's !

‎"Here’s to the crazy ones. The misfits. The rebels. The troublemakers. The round pegs in the square holes. The ones who see things differently. They’re not fond of rules. And they have no respect for the status quo. You can quote them, disagree with them, glorify or vilify them. About the only thing you can’t do is ignore them. Because they change things. They push the human race forward. And while some may see them as the crazy ones, we see genius. Because the people who are crazy enough to think they can change the world, are the ones who do. - Apple Inc."

Ce matin en buvant mon café devant l'écran de mon Mac, je suis resté bouche bai quand j'ai lu la mort de Steve Jobs...

je vais pas me lancer dans un vibrant hommage, le web regorge déjà de superlatifs ( génie, visionnaire, gourou, etc etc ) et l'exercice serait franchement vain et assurément moins réussi. 

Moi je tiens juste à dire que voilà plus de trois ans maintenant ( je l'aurais fait volontiers avant mais bon...) quand je suis passé au Mac et à OS X ce fût comme une révélation voire une révolution.

Jusqu'à lors mon pc me servait basiquement aux tâches les plus courantes et les crises de nerfs succédaient aux pétages de plombs tant je maudissais les dysfonctionnement de Windows... Je ne trolls pas, c'est un fait. 

Je reconnais qu'à l'époque, je n'ai jamais cherché à comprendre et surtout apprendre... Ce qui aurait pu être une bonne idée.

Puis j'ai acheté mon Mac et j'ai découvert OS X. A partir de là, les choses ont radicalement changées. Le plaisir, l'envie et l'intérêt sont subitement nés comme par miracle. Et ça, je pense que M. Jobs l'avait compris depuis le début. 

Alors juste pour cela, merci M. Jobs !

   

Marche Pascal, marche ! ( et shoot...)

Hier, je suis allé faire ma onzième perfusion de Tysabri® et mon neuro ne m'a pas trouvé en super forme ( je me gausse doucement...de moi même ! ) après m'avoir consciencieusement ausculté. Ce n'est pas vraiment une surprise étant donné que je me traine littéralement depuis un bon moment. J'ai tout d'abord naturellement mis cela sur le compte des fortes chaleurs ( ennemi juré entre autres de beaucoup de sépiens... ) tant cela me paraissait évident. Finalement rien n'est moins sur, mon doc lui n'est pas aussi catégorique et suppute "éventuellement" m'a t-'il dit une poussée batarde ( je l'a connaissais pas celle la... ) masqué par le Tysabri®.
Il m'a dit donc de bien surveiller si mon périmètre de marche se dégrade ( lui, déjà au firmament...) et d'envisager des bolus si besoin. Il a évoqué une autre hypothèse moins folichonne, mais qui reste pour le moment qu'une hypothèse ; un changement de forme de SEP et un passage à une forme secondaire progressive... ce qui, il faut bien le dire serait une nouvelle bonne grosse tarte dans ma tronche !
Nous n'en somme pas encore là..., le moins prochain, lors de ma nouvelle perf de Tysabri®, il à programmé un test de marche avec un kiné pour définir de manière précise ma résistance à l'effort ( si on peut dire ) et mon périmètre de marche.
il m'a invité en attendant à me tester, ( on arrive tout doucement à l'objet de ce billet ) en allant marcher jusqu'a mes limites.
Ce matin, après avoir posé ma puce à l'école, direction le jardin Massey pour une petite balade photographique. Le Jardin Tarbais étant franchement très jolie, autant en profiter pour m'amuser un peu...
A 9h, je suis garé le long du parc. Il n'y a vraiment pas grand monde, si ne n'est une classe du collège voisin j'imagine, qui fait du sport et quelques promeneurs tout comme moi.
J'ai eu vite fait de me concentrer sur les photos que je pouvais faire en occultant de calculer de manière précise combien de mètres il m'était permis d'avancer sans franchement galérer...
C'est pas franchement grave, je me suis fait plaisir, là est l'essentiel. Ci-dessous une petite sélection des photos prisent lors de cette balade bien agréable, qui confirme bien si besoin était, que malgré un soleil brillant encore de mille feu ces derniers temps, l'automne lui est déjà bien au rendez-vous...

 

Horace Andy - You're so fine

J'aime rattacher certaines chansons ou musiques à des événements bien particuliers, comme beaucoup de monde je pense . Cela fait longtemps que j'écoute Horace Andy. C'est un artiste que j'aime particulièrement, et pas seulement parce qu'il appose sa merveilleuse voix sur tout les albums des Massive Attack. Sa discographie est riche et dense, je n'y relève pas de fausses notes, bref je l'aime !

Pour ce titre, il est question particulièrement de ma fille. 

Quand elle était toute bébé ( trop mignonne...), c'est souvent moi qui lui donnait son bain quand je rentrais du travail. C'était le moment que j'aimais le plus dans la journée, notre petite demie-heure de complicité...

Et comme une sorte de rituel, j'adorais lui mettre ce morceaux de reggae et pendant que je chantais en caressant doucement son petit crâne, elle me fixait avec ses yeux bleus grand ouverts... Inoubliable !

Depuis c'est notre chanson à tout les deux. Dès qu'au hasard d'une de mes playlists, la voix si particulière du Jamaïcain entonne le-dit morceau, je cherche toujours le regard azur de ma puce...

Le Rouge et le Noir

Qu'il y a t-il en commun entre la gare de Tarbes et un veille voiture restaurée sur les bords du lac de Soues ? Et bien rien, si n'est ce petit point de couleur volontairement laissé en forme de clin d’œil sur fond noir...