Rendez-vous incontournable de la saison, le Chicago Blues festival est revenu à Vienne pour une tournée européenne avec de belles surprises musicales.
Cette année, le Chicago Blues Festival 2015 proposait un plateau artistique qui nous a réservé encore des pépites hors du commun représentées par des musiciens habitués des grandes scènes internationales comme des clubs les plus torrides. 

Si leur notoriété n'a pas vraiment franchi l'Atlantique, le band construit autour du chanteur/guitariste Chris James et du bassiste Patrick Rynn n'en demeure pas moins un des meilleurs représentants contemporains du Chicago blues. Ces deux-là se sont rencontrés en 1990 à Chicago et sont inséparables depuis, ils ont joué avec des légendes comme James Cotton, Carey et Lurie Bell, Magic Slim, Billy Branch, Lonnie Brooks, Junior Wells, Billy Boy Arnold, Lowell Fulson, Tomcat Courtney. 

Ce duo était accompagné de l’harmoniciste et chanteur indien Aki Kumar, le pianiste chanteur Ken Saydak qui a notamment joué avec Johnny Winter, Lurrie Bell et Koko Taylor sans oublier la chanteuse Chick Rodgers qui a débuté dans le gospel et le negro spiritual. Tous étaient soutenus par la rythmique inventive et incisive du batteur Willie The Touch Hayes. Cet orchestre nous a fait voyager au cœur des origines du blues. 
( source Théâtre de Vienne )

Quel plaisir durant cette très belle soirée musical de mettre en pause la tension des derniers jours, se vider la tête et se laisser porter par une des choses que l'humanité a de plus beau, la musique et le blues en particulier...

                                                                  Je suis une légende !

                                                                    Après la stupeur et les larmes...

la colère me gagne. 

Il est temps, peut-être d'avoir une lecture un peu plus sérieuse sur le monstre qu'est Daesh. 

Je vous invite à lire ces deux articles, l'un signé  par le Dr Nafeez Ahmed, l'autre par Maxime Chaix.

Libre à chacun d'en tirer ses propres conclusions... 

                                                                       Le champ des possibles ?

Quelques matins passés tu m'as comté un rêve où le champ des possibles était réalisable. Le plus louable étant que cette expression prenait vraiment sens.. 

Toi, notre famille avions loisir de réussir tout ce que nos aspirations nous insufflaient et ce dans quelques domaines que se soit. 

Seul le meilleur de l'humanité existait sans maux, sans ,heurts et autres bassesses que le plus dur des vocables ne serait qualifier...

Que j'aimerais que ce monde existe ma belle, purgé de ce que notre monde a de plus laid !

Je n'ai malheureusement plus la latitude pour percevoir l'humanité sous un tel prisme. Je ne suis plus un enfant, et, assurément j'ai perdu cette innocence dont vous avez le merveilleux privilège.

Ne te trompe pas ma chérie, des merveilleuses choses me poussent chaque jour à sourire et être heureux.

Ton frère, toi, maman, toute ma fratrie et l'amour que j'ai pour vous tous me chauffent le coeur plus que des mots ne pourraient le dire.

Puisse tous tes rêves se réaliser.

            L'embrassade

Rue de Bourgogne, le matin tirait tranquillement vers sa fin. Je trouvais une place de stationnement, chose assez rare dans ce coin de Vienne. 

Je savais cette rue assez passante pour y trouver ce que j'y cherchais.
L'attente ne fût pas bien longue.
Rapidement ces deux dames se trouvèrent et entamaient une discussion que je craignais sans fin. Je pris plusieurs clichés pendant leur orgie verbale sans être totalement satisfait.
Vint enfin le moment des embrassades, je déclenchai de nouveau.

J'avais mon cliché !