06/07/2012

























Clap de fin

2 commentaires:

  1. Pascal, je suis sous le coup de l'émotion et les mots me manquent pour te témoigner, à toi comme à tes proches, ce que je ressens...
    Je sais que tu ne crois peut-être pas en Dieu et je le respecte sincèrement. Le foi, c'est quelque chose de très personnel.
    Mais du fond du cœur, je vous offre ce petit texte lumineux qui je l'espère fera son chemin et sera également apaiser votre chagrin. Une maman c'est vrai, on en a qu'UNE.

    Il s'intitule : DÉPART D UN ÊTRE CHER.


    LA FAMILLE NE SE DÉTRUIT PAS,
    ELLE SE TRANSFORME,
    UNE PART D'ELLE VA DANS L'INVISIBLE.

    ON CROIT QUE LA MORT EST UNE ABSENCE,
    QUAND ELLE EST UNE PRÉSENCE SECRÈTE.

    ON CROIT QU ELLE CRÉÉ UNE INFINIE DISTANCE,
    ALORS QU ELLE SUPPRIME TOUTE DISTANCE,
    EN RAMENANT A L'ESPRIT CE QUI SE LOCALISAIT DANS LA CHAIR.

    PLUS IL Y A D ÊTRES QUI ONT QUITTE LE FOYER,
    PLUS LES SURVIVANTS ONT D ATTACHES CÉLESTES.

    LE CIEL N EST PLUS ALORS UNIQUEMENT PEUPLE D ANGES,
    DE SAINTS INCONNUS ET DU DIEU MYSTÉRIEUX: IL DEVIENT FAMILIER.
    C EST LA MAISON DE FAMILLE,
    LA MAISON EN SON ÉTAGE SUPÉRIEUR, SI JE PUIS DIRE.

    ET DU HAUT EN BAS,
    LE SOUVENIR, LES SECOURS, LES APPELS SE RÉPONDENT.


    + PÈRE SERTILLANGES.

    J'ai choisi cette photo de toi que je trouve sublime parce qu'elle reflète intensément la problématique de l’œuf ou de la poule entre la vision crépusculaire et de l'aurore naissante...
    Ou est le début, ou est la fin ? L'espérance est peut-être alors permise ...



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