27/05/2011

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Voilà un an déjà que tu as malgré toi décidé de t'en aller vers des horizons que nul ne connait. La douleur a fait place maintenant à la tristesse, c'est dans l'ordre des choses comme on dit...
Je pense vraiment très souvent à toi et à ce qu'on raté tout les deux. Je vais pas détailler ici, c'est pas l'endroit  pour et puis on se conprends tout les deux, tu connais mes frustrations et moi les tiennes.
Un an donc, déjà... Ils s'en ai passés des trucs depuis.
Je suis venu te voir avec et grace à Oliv. Biensur tu étais silencieux et nos retrouvailles on peut le dire ainsi carrement morbide, mais c'était quand même toi.
Et puis j'ai rencontré tes enfants, de magnifiques fragments de toi. Leurs pudeurs et leurs forces devant l'épreuve à forcé mon admiration, moi qui là voulais m'éffonder.
Tu hantes parfois encore mes rêves, beaucoup moins je l'avoue. Là aussi le temps... surement joue son office, c'est comme ça !
Les mots me manquent là tout de suite.
Tu sais que j'ai jamais trop fait tout comme toi dans le démonstratif à tout va, alors je voulais juste te dire que et bien tu es là avec moi tout simplement.

3 commentaires:

  1. beau texte...l'écrit est aussi une autre manière d'exprimer ses émotions, tout aussi démonstratif, à mon sens, que la parole et les actions...
    je t'embrasse
    bon weekend

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  2. Notre père sera toujours avec nous bro, tout comme ce voyage ensemble restera à jamais gravé dans mémoire..
    Brothers in arms... Pour toujours

    Olivier

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  3. @ Ange blanc : tu as raison. Merci.
    @ Oliv ; oui Bro toi aussi tu as mille fois raison... Brothers in arms, ever !

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