" Entre les années 50 et les années 60, Doisneau a photographié ce qui paraît impossible à photographier : les sentiments, le désir de bonheur, l'exultation de former une famille unie.
Les petits chenapans aux doigts pleins d'encre, nous les voyons cette fois chez papa et maman, entre frères et sueurs, dans leurs efforts attendrissants pour mettre le couvert tout en rêvant au terrain vague. Tout commence par un mariage au rythme de la danse du tapis. On est joyeux mais pudique. On sait qu'une vie ordinaire promet à des jeunes mariés de grands instants de vie. Le bonheur, c'est d'avoir des enfants.
Les landaus sont plus nombreux que les automobiles. La télévision n'existe pour ainsi dire pas et le soir plusieurs générations - crise du logement oblige - se retrouvent pour dîner autour de la table. La vie de famille est belle. Daniel Pennac puise ici son humour aux mêmes souvenirs. L'écrivain n'a pas oublié que le buffet Henri II était " le personnage le plus important de la famille ". Le landau " était à la poussette pliable ce.
que le char à bœufs fut à la voiture de sport ". Pennac apporte au livre le ton inimitable des dialogues qui valent aujourd'hui la célébrité aux personnages de ses romans. Doisneau-Pennac une rencontre qui est un grand moment de joie et une note de sagesse."
Les petits chenapans aux doigts pleins d'encre, nous les voyons cette fois chez papa et maman, entre frères et sueurs, dans leurs efforts attendrissants pour mettre le couvert tout en rêvant au terrain vague. Tout commence par un mariage au rythme de la danse du tapis. On est joyeux mais pudique. On sait qu'une vie ordinaire promet à des jeunes mariés de grands instants de vie. Le bonheur, c'est d'avoir des enfants.
Les landaus sont plus nombreux que les automobiles. La télévision n'existe pour ainsi dire pas et le soir plusieurs générations - crise du logement oblige - se retrouvent pour dîner autour de la table. La vie de famille est belle. Daniel Pennac puise ici son humour aux mêmes souvenirs. L'écrivain n'a pas oublié que le buffet Henri II était " le personnage le plus important de la famille ". Le landau " était à la poussette pliable ce.
que le char à bœufs fut à la voiture de sport ". Pennac apporte au livre le ton inimitable des dialogues qui valent aujourd'hui la célébrité aux personnages de ses romans. Doisneau-Pennac une rencontre qui est un grand moment de joie et une note de sagesse."
Depuis la rentrée je suis très bibliothèque, ou plus exactement bibliobus qui il est vrai à l'énorme avantage de stationner à 200 mètres de chez moi tout les jeudis. Bonus appréciable, j'ai sympathisé avec le responsable qui à compris mon attrait pour la photo et me conseille gentiment.
Cette semaine j'ai pris ce bel album qui est l'occasion d'une rencontre réussi de deux artistes ( Doisneau/Pennac ) nous racontant chacun à leur manière la vie de famille.
La vie de famille... c'est ce qui me manque le plus, les repas familiaux, les rires, les bons moments passés aves les siens, quoi de plus importants???
RépondreSupprimerBon dimanche Pascal, en famille, cela va de soi, gros bisous
Oui c'est vital la famille, même si il faut composer à certains moments...
RépondreSupprimerJe t'embrasse Cathy ( car je pense que c'est toi )